Ta divine tendresse,
Jésus, puissant Berger,
M’entoure en ma détresse,
M’abrite du danger.
Sur ton cœur tu me portes,
Faible et souvent lassé ;
Tes mains douces et fortes
Me tiennent enlacé
Ah ! tes deux mains percées,
Saignantes sous les clous,
Par les hommes blessées
Quand tu mourais pour nous,
Et des choses souffertes
Gardant le souvenir,
Ces mains restent ouvertes,
Ouvertes pour bénir.
Modèle incomparable
Cœur humain du Sauveur,
Fidèle et secourable,
Parfait en sa douceur,
Humble cœur, qu’on peut suivre
Sans crainte et sans effroi,
Près de toi je veux vivre,
Cœur qui souffris pour moi !