Hymnes et cantiques 139, strophes 1, 2 et 5
Quand aurons-nous le bonheur ineffable
D’être avec toi réunis pour jamais,
Et de te voir, ô Sauveur adorable,
Dans le séjour de l’éternelle paix ?
L’instant si court qui de toi nous sépare,
Grandit l’espoir en élevant nos yeux ;
Oui, le temps fuit, et l’aube se prépare :
Bientôt, Seigneur, tu reviendras des cieux.
Mais ce prélude à la gloire éternelle
Accroît en nous le désir de te voir ;
C’est toi, Jésus, que notre cœur appelle ;
Ah ! viens, parais ! Réponds à notre espoir !
Enregistrement : Lausanne