Non, je n’éteindrai pas le lin qui brûle à peine,
Je ne casserai pas le roseau dans la plaine.
Je suis, Seigneur, ce lin dont la flamme est si basse,
Mais Ton faible témoin compte encore sur la grâce.
Ah ! je suis ce roseau qui n’offre point d’appui,
Toi la force d’en haut, si faible que je suis.